Présentation

Notre commune
Saint-André-le-Gaz, dont les habitants se nomment les Saint-andréens a aujourd’hui une population de 2 900 habitants. Notre village fut un très important nœud ferroviaire à la jonction des voies ferrées Lyon/Grenoble et Lyon/Chambéry. Dans la première moitié du 20ème siècle, sa célèbre gare ne comptait pas moins de 100 cheminots attachés à ses activités, lui donnant une animation et une reconnaissance aujourd’hui disparues.
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L’activité agricole qui parmi toutes les activités fut longtemps prépondérante, après la disparition, comme partout, d’un nombre impressionnant d’exploitations, entre 1950 et 1970, a su, pour se moderniser et se développer, s’organiser en groupements agricoles d’exploitation en commun (les fameux GAEC) tant pour l’élevage traditionnel auquel s’est récemment ajouté l’élevage ovin, que pour la création d’élevage de gibiers (principalement faisans), très caractéristique de notre village, avec ses spectaculaires hectares de volières qui font de notre commune la première du département en superficie de volières et l’organisation de la pêche de loisirs dans plusieurs étangs dont le plus attrayant appelé « Etang de Tapon » du nom emprunté à la commune voisine de Fitilieu, a été créé à Bajole.

Les moyennes entreprises maintiennent un emploi local très apprécié, Elles sont notamment représentées par les Ets Jabouley, spécialisés dans le tulle et la dentelle, fortement concurrencés sur le plan international, l’entreprise Knauf Rhône-Alpes, dans l’isolation polystyrène, l’entreprise Montandon dans la construction mécanique, l’entreprise Jean Villeton, en pleine expansion, dans le matériel de déneigement, l’entreprise Sylvain Villon dans la chaudronnerie, l’entreprise RPI dans le revêtement de peinture, Evira une filiale d’Emmaüs. Mais si l’on faisait état de la petite entreprise, ce n’est pas moins au total de 100 entreprises commerciales et artisanales qui sont immatriculées au Registre du Commerce ou au Répertoire des Métiers.

La commune vit également grâce à ses commerces de proximité : une boulangerie, un boucher, un buraliste, deux coiffeurs (Valérie Coiffure et Gomina), trois salons d’esthétique (Gomina et Sarah Esthétique, Nails & Co), une épicerie, un fleuriste, trois restaurants offrant chacun leurs spécialités et leur ambiance (le Terminus, l’Endroit, Place aux Pizzas), un traiteur, un garage, un dépôt-vente. Les services de santé étant également servis par la proximité, les Saint-Andréens ont au cœur du village accès à un cabinet médical, une pharmacie, un cabinet infirmier, un kinésithérapeute, un ostéopathe.

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Saint-André-le-Gaz, c’est aussi :

  • un complexe sportif comprenant un gymnase de 600 m2 qui a récemment fait l’objet d’une importante mise aux normes, permettant une vie intense des associations et des écoles ; avec à proximité un boulodrome abrité et chauffé ; un stade de foot ; des courts de tennis, un terrain de basket.
  • l’école communale avec ses onze classes, réparties sur trois sites : Vercors, Joliot-Curie et la Maternelle ; Un restaurant scolaire, avec garderie périscolaire, flambant neuf à proximité du gymnase, dans lequel sont servis chaque jour plus de cent repas et d’où prend son départ le service des repas portés à domicile.
  • deux établissements d’accueil : une résidence autonomie « Gai Soleil », gérée par la commune mettant à la disposition des locataires un appartement leur permettant d’avoir une vie indépendante et une Maison de retraite « Les Pérolines », établissement privé.
  • une caserne de pompiers, animée par de dévoués volontaires.

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  • plus de 36 associations de bénévoles.
  • approximativement 1000 logements disséminés sur 889 hectares, superficie de la commune.
  • deux maisons familiales rurales d’apprentissage, celle du Village (formation électricité et filière canine et féline) et celle du Chalet (mécanique et menuiserie ébénisterie), regroupant à elles deux près de 600 élèves.
  • un hôtel de ville récemment rénové, avec ascenseur, desservant ses trois niveaux, digne maison du peuple, dont élus et employés viennent à peine de prendre possession, avec bureau de Poste attenant.

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  • une église et son clocher ayant récemment fêtés leurs 100 ans et qui, à cette occasion, ont bénéficié d’un lifting qui leur a rendu l’éclat de leur jeunesse. Œuvre de l’architecte Alfred Berruyer, concepteur dans le département d’une bonne trentaine d’autres églises. Sont à voir à l’intérieur les toiles dues au pinceau de Louis Vêttard, sorte d’abbé Calès avant la lettre, prêtre et artiste peintre, curé de St-André, il y a un siècle, notamment la Cène (inspirée de l’œuvre de Léonard de Vinci) ainsi que la chaire, œuvre probable de l’ébéniste Perrin.
  • le château de Verel dans son cadre prestigieux, dont les murs conservent le souvenir d’hôtes illustres, tels le poète Alphonse de Lamartine et le romancier Stendhal, au temps où la famille Beyle, sa famille, était propriétaire des lieux. A 490 m d’altitude il domine de quelque 80 m, la gare, le village, le Gua et tout le secteur environnant. On jouit à partir de son esplanade en terre-plein d’un panorama exceptionnel, avec dans le lointain sur plus de 100 kms une magnifique chaîne ininterrompue de montagnes, du Jura et des Alpes, aux tons azuréens barrant agréablement le lointain horizon.
  • la Bourbre, prenant sa source dans les Terres Froides de Châbons, pour former un affluent et grossir entre Loyettes et St-Priest de son modeste débit celui du Rhône, enjambée par les ponts de Tapon, de la Creuse et du Gua. Ce dernier le plus célèbre, a été construit sur un remarquable radier, remontant aux dires des spécialistes à la période gallo-romaine. La tradition veut, sans être confirmée par des écrits d’époque, que le pont proprement dit, ayant mis fin au célèbre passage à gué, dont il porte le nom, fut construit par les pontonniers du général Bonaparte pour le passage de l’Armée d’Italie.

Telle se définit dans ses grandes lignes notre commune, membre de la communauté de communes des Vals Du Dauphiné.

Hommage aux morts pour la liberté

Le monument aux morts
de Saint-André-le-Gaz
 
Stèle et monument
des fusillés et déportés
du 8 juillet 1944
Monument commémoratif
Maroc – Algérie – Tunisie

[ Relevés des monuments aux morts extrait du site MémorialGenWeb.org ]

Téléchargement du livret relatant la tragédie du 8 juillet 1944
écrit par M. GALLIEN Roger.


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25/06/2020